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Dites adieu à votre problème de rongeurs une fois pour toute.
Nous vous garantissons une éradication radicale des rats et souris ou taupes dès la première intervention.
Rat brun
Le rat brun (Rattus norvegicus) est un gros rongeur au corps trapu de 20 à 25 cm, sans compter la queue qui peut mesurer jusqu’à 20 cm, et au pelage brun-gris dense. Excellent fouisseur, il creuse des galeries complexes pour nicher près des sources de nourriture (égouts, entrepôts, talus). Omnivore et opportuniste, il peut consommer aussi bien des céréales et déchets que de petits animaux. Très prolifique (jusqu’à 5 portées de 8 à 12 petits par an), il présente un fort potentiel d’infestation. Porteur de germes pathogènes (leptospirose, salmonellose…) et capable de ronger câbles ou structures en bois, il constitue à la fois un risque sanitaire et matériel.
Taupes
La taupe (Talpa europaea) est un mammifère fouisseur de 12 à 16 cm de long (queue incluse) au pelage dense, velouté et sombre, généralement gris brun. Adaptée à la vie souterraine, elle creuse des galeries complexes grâce à ses pattes antérieures puissantes munies de griffes robustes. Insectivore, elle se nourrit essentiellement de vers de terre et d’insectes du sol, creusant sans cesse pour chasser. Ses monticules de terre fraîche en surface et ses réseaux de tunnels peuvent endommager pelouses, potagers et jeunes plantations, provoquant affaissements et perte d’esthétique des espaces verts.
le mulot
Le mulot des bois (Apodemus sylvaticus) est un petit rongeur de 8 à 10 cm de corps (queue de même longueur), au pelage brun-doré sur le dos et crème ou blanc sur le ventre. Agile grimpeur et sauteur, il niche dans les lisières de forêts, haies et prairies, se faufilant à couvert grâce à ses grandes oreilles et ses yeux proéminents. Omnivore opportuniste, il se nourrit de graines, fruits, insectes et petits invertébrés, accumulant parfois des provisions dans son terrier. Bien que moins commensal que la souris domestique, il peut pénétrer dans les habitations à la recherche de chaleur ou de nourriture, occasionnant rongeurs de câbles et dégradations mineures. Réputé prolific (4 à 6 portées de 4 à 8 jeunes par an), il reste toutefois un vecteur potentiel de hantavirus et autres pathogènes, justifiant une surveillance lorsque sa présence devient intrusive.
le campagnol
Le campagnol (souvent Microtus arvalis ou Arvicola terrestris selon l’espèce) est un petit rongeur trapu de 10 à 15 cm (queue de 3 à 6 cm), au pelage brun-gris uniforme. Harris ses incisives et pattes courtes, il vit principalement en milieu rural : champs, prairies, talus et bords de fossés.
Habitudes fouisseuses : il creuse un véritable réseau de galeries superficielles, créant des « mottes » de terre à l’entrée, et peut également s’étendre sous les cultures et pelouses.
Régime alimentaire : herbivore strict, il se nourrit de racines, jeunes pousses, tiges et tubercules ; en période de disette, il peut ronger écorces et semis.
Reproduction rapide : jusqu’à 5 portées par an de 4 à 8 petits, favorisant des explosions de population et d’importants dégâts en peu de temps.
Dégâts et nuisances : affaissement et asphyxie des jeunes plantations, pertes de récoltes, fragilisation des berges et des bases de haies ; ses galeries peuvent aussi endommager les systèmes d’irrigation.
Risques sanitaires : vecteur potentiel de certaines leptospires et tularémie, bien que son impact sanitaire soit moindre que celui du rat brun.
Pour limiter le campagnol, on privilégiera :
Débroussaillage régulier pour réduire les abris.
Pose de piégeage mécanique à l’entrée des galeries.
Rotation des cultures et labour profond pour détruire les nids.
Entretien des berges et drains pour éviter l’expansion des colonies.
Habitudes fouisseuses : il creuse un véritable réseau de galeries superficielles, créant des « mottes » de terre à l’entrée, et peut également s’étendre sous les cultures et pelouses.
Régime alimentaire : herbivore strict, il se nourrit de racines, jeunes pousses, tiges et tubercules ; en période de disette, il peut ronger écorces et semis.
Reproduction rapide : jusqu’à 5 portées par an de 4 à 8 petits, favorisant des explosions de population et d’importants dégâts en peu de temps.
Dégâts et nuisances : affaissement et asphyxie des jeunes plantations, pertes de récoltes, fragilisation des berges et des bases de haies ; ses galeries peuvent aussi endommager les systèmes d’irrigation.
Risques sanitaires : vecteur potentiel de certaines leptospires et tularémie, bien que son impact sanitaire soit moindre que celui du rat brun.
Pour limiter le campagnol, on privilégiera :
Débroussaillage régulier pour réduire les abris.
Pose de piégeage mécanique à l’entrée des galeries.
Rotation des cultures et labour profond pour détruire les nids.
Entretien des berges et drains pour éviter l’expansion des colonies.
rat noir
Le rat noir (Rattus rattus), aussi appelé rat des toits, est un rongeur fin et élancé de 16 à 24 cm de corps (sa queue annelée peut dépasser cette longueur), au pelage noir à brun foncé et au museau pointu, doté de grandes oreilles mobiles qui lui permettent d’explorer et grimper dans les combles, greniers et corniches ; omnivore opportuniste, il se nourrit de graines, fruits, déchets et petits invertébrés, et peut produire jusqu’à six portées de 5–10 petits par an, provoquant rapidement une forte infestation ; ses incisives robustes rongent câbles électriques et matériaux de construction, causant courts-circuits et dégradations, tandis que son contact et ses déjections sont vecteurs de leptospirose, salmonellose et, historiquement, de la peste, justifiant une lutte combinée d’étanchéité du bâti, d’élagage des accès, de piégeage ciblé et de surveillance régulière.
souris
La souris (Mus musculus) est un petit rongeur agile de 6 à 9 cm de corps (queue semblable en longueur), au pelage doux généralement gris clair à beige, qui se glisse par des ouvertures de moins de 5 mm pour s’infiltrer dans les habitations à la recherche de nourriture : graines, denrées stockées ou déchets. Opportuniste et très prolifique, elle produit jusqu’à huit portées de six à huit petits par an, ce qui favorise une infestation rapide. Ses incisives en croissance continue la poussent à ronger câbles, bois et matériaux isolants, causant à la fois dégâts matériels et risques de court-circuit. Porteuse de salmonelles, d’hantavirus et de leptospires, elle constitue également une menace sanitaire, justifiant des mesures de prévention alliant calfeutrement des entrées, propreté rigoureuse et piégeage ou appâts sécurisés.
Marocinsect, Experts en Dératisation Expresse
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